LYRIC

Un coeur soufflé par trop de craintes
Éteint sa ferveur de moustique
La joie est suspendue au cintre
Heureux espoirs, fermez boutique

Un arbre maigre et sans écorce
Nul être à qui se rappeler
C'est un éclair qui dure à force
De laisser le tonnerre enrager

Douceur âcre, abat-jour flétri
Un air puant qui se protège
Des courants d'air, bonnet de nuit
Joignons-nous seul au grand cortège

Les larmes sont ridicules
Et inutile le danger
Il faudra jusqu'à la virgule
Réciter l'ode frelatée

La toupie est bien incertaine
Qu'épuisent de trop longs trajets
Mais c'est la vie qui est à la peine
Quand elle a fini de tourner

Nil hours

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