LYRIC

Et la rue m'habitue à n'être plus personne, presque plus personne
Et la ville me force à suivre son rythme fébrile, son rythme fébrile
Mais quand on se retrouve, quand il rentre le soir, il suffit d'un regard

Et je suis moi, j'ai le ciel au bout des doigts
Le monde au-dessous de moi, comme pour la première fois
Je suis moi, j'entends, je sens et je vois
Je suis moi comme pour la première fois, je suis moi

Et la rue me ramène à sa vie monotone, sa vie monotone
Dans la ville je me perds, je m'oublie, je m'abandonne
Oui je m'abandonne
Mais quand on se retrouve, quand le ciel devient noir, il suffit d'un regard

Et je suis moi, j'ai le ciel au bout des doigts
Le monde au-dessous de moi, comme pour la première fois
Je suis moi, j'entends, je sens et je vois
Je suis moi comme pour la première fois, je suis moi

Je suis moi, j'ai le ciel au bout des doigts
Le monde au-dessous de moi, comme pour la première fois
Je suis moi, j'entends, je sens et je vois
Je suis moi comme pour la première fois, je suis moi, je suis moi.

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