LYRIC

Sale, je vous hais.
Dieu que tu m'as bien habillÈ et c'est bien appris.
Chaque nuit, je fais un peu plus sur ton lit.
Mais voilÞ, ma culotte saigne encore.
Viens dÈcrasser ce corps!
Tout n'est pas sec.
Cette odeur, c'est quand je reste allongÈe…
Tu ne trouves pas?
Tu ne sens pas?
J'ai tous mes doigts; prends ma main et ne serre pas!
Toutes les fois ou grand roi s'est jouÈ de sa reine.
J'ai presque rongÈ mon Áme (souviens-toi! )
Pour rester dans ces femmes: Celles qui te plaisent, celles que tu baises.
Dis leurs mon nom!
Je ne peux plus boire cette eau noire.
Tu te toucheras!
Pourquoi tu ne viens jamais sur ma tombe?
Personne, Þ jamais bÉte et nausÈabonde.
Je pense trop: "C'est alors qu'elle s'imagine la pelle s'enfoncer.
Dans la terre, puis dans sa tÉte".
Violent, et mÈchant coup a fendu mon Étre.
Don't il ramasse les restes, morceaux ruinÈs.
Don't il se dÈlecte.
Je t'ai vu quand tu ne m'as pas reconnue.
Chercher tes gestes face au corps que tu as Èmue.
Tu t'obsÕdes et t'Èloignes de moi.
Quoi que tu fuies, je resterais sous ton toi.
LÞ oÛ nos deux corps saignent.
Un amer goØt de fer, arriÕre goØt de sang.
M'en sortir, Ãa je ne peux plus.
As-tu pensÈ aux Ámes et aux soeurs que tu as dÈÃus?
Ils me mangent et tu l'aimes.
Je pleure les saints de te voir sur cette chienne.
Sale.
C'est cette pute qui m'a tuÈe.
Je pourris, pour Ãa je vous hais.
Tombe ne fleurit.
Je vous hais, pour Ãa je tuerais.

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