LYRIC

Pillages et meurtres
Que les portes ploient et que les murailles cèdent;
Que la pluie ne puisse effacer la cendre et
Que le sang ne soit plus une offrande

Leur briques fauves retrouvent leur pourpre
Le sol se fait liquide
Toute étoffe redevient noire
L’ombre transformée, meurtrière

La chair des arbres est putride
La guerre est le ciel
Et l’océan est une foule
L’incendie progresse; feu, le corps du peuple

La volonté de ces gens, nous la plierons au joug de l’esclavage

Pris dans les rets de la dissension
Le courage ne veut plus de modération
L’étranger s’empare de la terre et nous fait ennemis;
Le frère attaque le frère et le sang se repaît de son sang

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