LYRIC

Posté devant la fenêtre
Je guette les âmes esseulées
A la faveur de l'automne

Posté devant la fenêtre
Je regrette de n'y avoir songé
Maintenant que tu m'abndonnes

A la faveur de l'automne
Revient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne de vieilles mélodies

Rivé devant le téléphone
J'attends que tu daignes m'appeler
Que tu te décides enfin

Toi, tes allures de garçonne
Rompiez un peu la monotonie
De mes journée, de mes nuits

A la faveur de l'automne
Revient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne de vieilles mélodies
A la faveur de l'automne
Tu redonnes à ma mélancolie
Ses couleurs de super-scopitone

A la faveur de l'automne

Comment ai-je pu seulement être aussi bête?
On m'avait prévenu
Voici la vérité nue

Manquerait plus que le mauvais temps s'y mette
Une goutte de pluie et
J'aurais vraiment tout perdu

A la faveur de l'automne
Revient cette douce mélancolie
Un, deux, trois, quatre
Un peu comme on fredonne de vieilles mélodies
A la faveur de l'automne
Tu redonnes à ma mélancolie
Ses couleurs de super-scopitone

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