LYRIC

L'aube se l've sur Paris, France
Je n'aurais connu que tes bras
Tes bras sont courts quand on y pense
Comme ils m'ont berc' ces bras-l'
Tes bras qui me semblaient immenses
Se la jouent petits bras

L'aube se brise sur Paris, France
Je n'aurais connu que tes doigts
Tes doigts sont gourds
Quand on y pense
Comme ils m'ont parcourue ces doigts
Tes doigts en qui j'avais confiance
Me d'go'tent et voil'

C tait la nuit, pardonne-moi
Quand c'est la nuit parfois
J'y crois
C tait la nuit ma seule excuse
La nuit souvent m'abuse

L'aube se crashe sur Paris, France
Je n'aurais connu que ta bouche
Ta bouche qui devrait faire silence
Plut't que baver sur ma couche
Ta bouche ouverte comme une offense
La remplir m'effarouche

C tait la nuit, pardonne-moi
Quand c'est la nuit parfois
J'y crois
C''tait la nuit ma seule excuse
La nuit souvent m'abuse

L'aube se meurt sur Paris, France
Nous n'aurons connu que quoi donc?
Nos corps comme des fant'mes
Qui dansent
Nos corps d'accord mais ' quoi bon?
Nos corps et puis, quelle importance
Remets ton pantalon

C tait la nuit, pardonne-moi
Quand c'est la nuit parfois
J'y crois
C tait la nuit ma seule excuse
La nuit souvent m'abuse
X2

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