LYRIC

Une passion lzarde. L'rosion des anne.
Mes parents dsarms
Se sparent. La maison dsormais rsonne de leurs paroles dsoles
Une part d'ombre est scelle.
Pour ne pas rompre, esseule, chaque
Jour, ma mre se bat.
Elle a le monde soulever et sur ses joues,
Tant de peine me navre.
Got amer. Je pars quand la foudre en elle
Parle. Pardon de sauver.
J'ai mal de voir ce qui m'attend. Grand
Besoin de souffler.
Pas le cran de la retrouver la tte dans les
Mains, en qute d'lments,
De raisons de garder les rangs.
Je suis de ceux qui tranent tard,
A squatter les bancs tels le fer
Et l'aimant. Ma vie s'fait d'ces moments o on est mieux loin
D'chez soi. Moments d'ternit.
L'ternit est un moment mais
On l'oublie l'un d'ces soirs o,
En mal d'trophe, on refait l'monde
Loin des bras d'morphe,
Le coeur empreint d'c't'me
Qu'ont les churs en plein stade mais peu importe le dcor s'ancre
On s'installe entre stages et intrims.
En soi, rien d'terrible, on stagne la o
Des p'tites filles d'j p'tites femme charment des hommes encore
Mmes fans de Jackie Chan pendant qu'des femmes encore p'tites
Filles lvent des mmes d'ja durs comme des hommes. J'espre en
L'espoir perdu, sur les cendres d'nos sorts, qu'leurs voix innocentes
Ne s'joignent l'ensemble des perdants qu'nous sommes. D'autres
S'voyant sans songe s'en vont, s'noyant dans leur sang. L'eau passe
Sous les ponts. Il m'semble qu'hier encore, ma mre m'embrassait sur l'front

J'ai pas choisi d'rduire mon monde c'banc comme Escobar
A Medellin, c'parce qu'tre mine, c'parce qu'erre l'spleen.
C'est l'rcit simp

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